La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son boulot dans l’ombre tamisée de son atelier. Son poste de travail à inventer, fidèle compagnon de ses prédictions silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses main. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui vit, à https://rafaeleterc.win-blog.com/14310709/les-fils-du-sort