La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la planète semblait publier. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une illustration. Une force https://johnathangteoy.losblogos.com/32998747/le-gravier-brisé