Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son règle, attendait que l’obsidienne parle à frais. La joyau black semblait absorber la luminosité sélénique, vibrer marqué par la pression du vent, et assez fréquemment, sans avertir, elle résonnait de cette https://laurianavoyance65420.topbloghub.com/40240654/les-traces-effacées