En 2200, Reykjavik n’était plus la ville qu’elle avait vécu. Entourée d’installations cryogéniques et de laboratoires géologiques, elle abritait désormais des centres de recherches joignant archéologie glaciaire et sciences cognitives. C’est dans l’un de ces séculaires abris transformés que vivait un voyant discret, connu seulement marqué par un pseudonyme : https://manuelshrbi.ssnblog.com/33231174/la-chambre-à-coucher-des-fragment