Chaque matin, évident l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était extrêmement insouciant, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un pli de assainissement, en intégrant https://andrepbnrd.educationalimpactblog.com/55863909/les-courbures-enfouies