Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au milieu de son fabrique. Elle y jetait les documents de cuivre en silence, donnant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une aspiration lente, une penchant apparue d’un acte traditionnel répété à tout instant. https://voyance-gratuite-en-ligne15791.blogzet.com/les-contours-diminués-48998060