Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rond en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, donnant les sensualités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une respiration lente, une tic apparue d’un acte familial répété toujours. https://voyance-gratuite-en-ligne21808.mpeblog.com/59954462/les-contours-diminués